Comme beaucoup de célébrités, Estelle Lefébure est très active sur Instagram. Sur le fameux réseau social, la maman d’Ilona Smet possède également une importante communauté. Ses abonnés peuvent donc découvrir ses projets à venir, ses moments en famille, ou ses voyages dans le monde.
Estelle Lefébure : « J’ai autre chose en moi »
L’ancienne belle-fille de Johnny Hallyday était un top model incontournable dans les années 90. Plus tard, elle s’est aventurée dans l’univers du cinéma. Cependant, elle a dû persévérer pour briller dans ce « milieu ». « Au départ, on m’a refusé l’emploi d’actrice à cause de mon métier de mannequin. Pour convaincre, j’ai dû endosser des rôles durs, à contre-emploi […] », a-t-elle confié à Paris Match. L’occasion pour Estelle Lefébure de dévoiler une anecdote à ce propos.
« Un court-métrage très dur, primé partout. Le réalisateur, Xavier Gens, m’avait dit ‘On ne va pas pouvoir t’enlaidir.’ Eh bien si ! Je ne suis pas que jolie, j’ai autre chose en moi et je peux le prouver », a souligné l’artiste. Avant d’ajouter : « Dans le milieu, contrairement aux États-Unis, où l’on aime faire rêver avec de beaux acteurs, en France, sa beauté, on la paie un peu. On ne vous prend pas au sérieux ».
« On a retiré le bébé de cette femelle macaque et on lui a donné une peluche à la place »
L’ex-femme de David Hallyday a toujours défendu des causes qui lui tiennent à cœur, grâce à sa notoriété. Et les animaux en font partie ! D’ailleurs, Estelle Lefébure a partagé un post d’Hugo Clément en story sur Instagram, protestant contre une étude organisée par l’école médicale de l’Université d’Harvard. En fait, l’expérience s’est concentrée sur « l’attachement chez les primates ».
En légende de la publication, il est écrit : « Pour une expérience, on a retiré le bébé de cette femelle macaque et on lui a donné une peluche à la place ». « Pour cette même recherche, les paupières de certains macaques ont été suturées, gardées closes pendant un an, pour étudier les conséquences neurobiologiques de la cécité ». Aujourd’hui, « plus de 200 primatologues et éthologues » ont demandé « le retrait de l’étude publiée dans la prestigieuse revue PNAS ».