C’est une histoire quelque peu habituel…
La compagnie aérienne Emirates débourse la coquette somme de 12 600 $ pour une raison incroyablement insolite à un passager néo-zélandais . Il Est Encore Temps vous donne plus de détails.
Emirates débourse 12 600 $ pour une raison incroyablement insolite à un passager
Un chirurgien néo-zélandais et sa compagne ont déboursé 13 000 dollars pour un vol en première classe avec Emirates, partant d’Auckland vers Londres.
Cependant, le Dr Mark Morgan a été déçu par son expérience et a entamé une action en justice contre la compagnie aérienne, affirmant qu’elle avait trompé les clients avec sa publicité mensongère sur la première classe.
Il a reproché à Emirates de ne pas avoir tenu ses promesses concernant des sièges inclinables en cuir lisse et un système de divertissement de qualité.
Afin d’appuyer ses dires, le chirurgien insatisfait a partagé des photos et des liens vers les publicités en question.
Lui et son partenaire avaient été forcés de s’asseoir sur des chaises « usées ».
La compagnie aérienne a répondu que ses publicités ne garantissaient pas tous les services proposés et que les divertissements à bord pouvaient rencontrer des difficultés lors de voyages transfrontaliers.
Cependant, le tribunal a donné raison au Dr Morgan et a ordonné à Emirates de lui verser 12 600 dollars de dédommagement.
Le passager estime que d’autres passagers mécontents pourraient suivre son exemple et souhaite que la compagnie soit plus transparente sur les services qu’elle propose.
« C’est moins qu’une goutte d’eau dans l’océan pour eux »
Comme on peut lire dans les colonnes du tabloïd Daily Mail, « la communication marketing d’Emirates avait pour but d’éloigner les clients néo-zélandais des autres compagnies aériennes pour qu’ils achètent auprès d’elle un service qui n’existe même pas ».
Le Dr Morgan, interviewé par l’Australian Financial Review, a déclaré que la somme versée était insignifiante pour Emirates. « C’est moins qu’une goutte d’eau dans l’océan pour eux », déclarait-il.
La Commission australienne de la concurrence et de la consommation avertit que « toute déclaration qui crée une fausse impression sur les biens et services peut enfreindre les déclarations de la loi ».