Elle épouse ce millionnaire pour son argent, sans se douter de la vengeance qu’il avait préparée ! On vous raconte tout !
Elle épouse ce millionnaire pour son argent, sans se douter de la vengeance qu’il avait préparée ! Vous n’allez pas le croire !
Sandrine Devillard épouse ce millionnaire pour son argent, sans se douter de ce qu’il lui avait reservé.
C’est l’histoire de Sandrine Devillard, agent immobilier de 42 ans et celui de Marcel Amphoux, agriculteur de 67 ans. Entre les deux, ce fut le coup de foudre immédiat, au grand étonnement des proches de ce dernier.
En septembre 2011, lorsque Marcel Amphoux s’était fait passer la bague au doigt, dans son complet noir, cravate et veston grenat assortis, beaucoup prédisait peut-on lire dans Le Parisien, que cette toquade ne lui apporterait que des malheurs.
A Puy-Saint-Pierre (Hautes-Alpes) où Marcel Amphoux a passé sa vie, personne ne croit à cet amour soudain qui naît entre « un vieux garçon au mode de vie aussi rude que son physique et une belle Parisienne de vingt-cinq ans sa cadette… » surtout quand le vieux en question détient un patrimoine certain.
Six ans après ce mariage, soit cinq ans après la disparition brutale à 69 ans de Marcel Amphoux, « son héritage fait toujours l’objet d’une âpre bataille judiciaire », nous rapporte le quotidien francilien.
Sandrine Devillard-Amphoux s’est fait avoir. Alors qu’elle se pensait unique héritière, les locataires de Marcel exhument, six mois plus tard, un testament qui déshérite sa femme.
Si elle l’avait épousé pour hériter de sa fortune estimée à un million d’euros, c’est plutôt raté.
Marcel lègue à ses locataires le bien dans lequel ils habitent, et le reste «à une autre personne», une cousine à lui. Mais pas à Sandrine, «Il marque bien qu’il ne veut rien donner à sa femme.», assure son avocat Me Jean-Michel Colmant, du barreau de Gap.
La veuve a déposé plainte et fait appel du non-lieu de décembre 2016. Selon son avocat, Me Charles Lasvergnas, « elle est prête à aller en cassation ».
Si la justice estime que l’écriture du testament était « naturelle et spontanée », sa veuve dit qu’« Il était influençable », poursuit Me Lasvergnas.
« Il ne l’a jamais touchée » !
« C’est triste, il s’est fait avoir, raconte un ami de Marcel. Il était ébloui par sa Parisienne. Mon épouse, mon épouse, qu’il me répétait… Elle faisait la belle sur son tracteur, mais en un an, elle a dû venir cinq ou six fois. Et je peux vous dire qu’il ne l’a jamais touchée ! », assurait celui-ci.
Avant de s’établir comme agent immobilier, Sandrine a tenu à Paris deux salons de massage, établissements discrets à la clientèle masculine.
Avant sa mort, le vieil homme avait révélé auprès du Parisien que sa femme se contentait de quelques visites express et ne dormait jamais chez lui.
Dans son testament, Marcel Amphoux fait état d’un « mariage blanc ». Sans nouvelles de sa femme, il avait finalement entamé des démarches pour divorcer.
Il a succombé dans un accident de voiture avant d’avoir eu le temps de mettre sa menace à exécution.
« Ah ça, elle lui a fait une jolie tombe, fait savoir l’ami de Marcel. Mais elle n’est jamais revenue… Même artificielles, les fleurs ont fini par faner. »