Pour les deux premiers mois de la nouvelle saison de diffusion, le feuilleton culte de la chaîne privée n’a pas été au rendez-vous. Demain nous appartient : coup de tonnerre pour Chloé (Ingrid Chauvin), cette victime collatérale de TF1. On vous dévoile tout.
À l’approche de son millième épisode, la série diffusée en acces prime time depuis le courant de l’année 2017 vient de rencontrer un gros problème. L’occasion pour la production de proposer un projet de refonte. Demain nous appartient : coup de tonnerre pour Chloé (Ingrid Chauvin), cette victime collatérale de TF1. La rédaction d’Il est encore temps fait le point pour vous.
Demain nous appartient boycotté par son public ?
La saga portée par Ingrid Chauvin fait face à une vague de départs sans précédent. Pour y remédier, la production a misé sur de nombreuses intrigues dramatiques.
Pour cela, les scénaristes n’ont pas hésité ne serait-ce qu’une seconde à mettre en péril la survie de certains personnages populaires. Une refonte qui n’a pas eu l’impact souhaité en termes d’audiences.
La baisse ne cesse de se manifester à chacune de nouvelle diffusion de la série. À la fin des deux premiers mois de cette saison 2021-2022, cette perte est évaluée à hauteur de 700 000 fidèles téléspectateurs.
De son côté, la concurrence, représentée principalement par N’oubliez pas les paroles, le jeu musical de France 2, présenté par Nagui, ne cesse de creuser l’écart.
Demain nous appartient en chute libre…
Au courant du mois de janvier 2022, bien avant que l’actualité ne soit pas centrée sur la guerre opposant la Russie à l’Ukraine, DNA a pu conserver une certaine dynamique équivalente à celle qu’elle a affichée depuis le début de la nouvelle rentrée.
Son score d’audience était évalué, en moyenne, à 3.09 millions de fidèles téléspectateurs. Ce qui représente 15.8% de part de marché. Mais actuellement, tous les indicateurs s’orientent, malheureusement, à la baisse en comparaison aux deux dernières années.
Pour le même mois de l’année 2021, la perte était chiffrée à 589 000 aficionados. Un véritable coup dur pour la production. En remontant encore un peu plus loin, soit au début de la même année, la baisse était de l’ordre de 0.5 points.