Découvrez pourquoi le beurre de cacahuète est banni des avions

Découvrez pourquoi le beurre de cacahuète est banni des avions
Découvrez pourquoi le beurre de cacahuète est banni des avions !-© iStock

Découvrez pourquoi le beurre de cacahuète est banni des avions. La raison est vraiment surprenante, vous n’allez pas le croire !

Découvrez pourquoi le beurre de cacahuète est banni des avions

« J’ai essayé de faire passer le beurre de cacahuète par la sécurité de l’aéroport« , déclare l’écrivain et podcasteur américain. «  TSA : ‘Désolé, pas de liquides, de gels ou d’aérosols.’ Moi : « Je veux que vous me disiez laquelle de ces choses est le beurre de cacahuètes ».

Si vous vous retrouvez dans une situation similaire, il est probable que vous vous posiez la même question.

Les voyageurs réguliers savent bien qu’il est interdit par la sécurité des aéroports de transporter des contenants de liquides de plus de 100 ml.

Que vous le vouliez ou non, vous êtes contraints de vous séparer de vos flacons de parfum, de crème hydratante, de shampoing et bien d’autres. Difficile d’appréhender le problème avec le beurre de cacahuète !

Le tweet récemment lancé par ce podcasteur américain a été lu et reposté des millions de fois depuis le 15 mars 2023 au point que l’Administration américaine de la sécurité des transports a pris la peine de répondre à sa question.

“Vous n’êtes pas fou, mais la TSA considère votre beurre de cacahuète comme un liquide. En bagage à main, il doit être de 3,4 oz.ou moins. », pouvait-on lire.

Un journal universitaire tente d’apporter une réponse scientifique !

Le beurre de cacahuète est en fait un excellent exemple de fluide non newtonien car il ne s’écoule pas aussi facilement que l’air ou l’eau, mais s’écoule si une force suffisante est appliquée, comme lorsqu’un couteau l’étale sur du pain. La facilité avec laquelle il s’écoule dépendra également de la température – vous avez peut-être ressenti des gouttes de beurre de cacahuète après l’avoir badigeonné sur du pain grillé chaud”, explique un article du journal universitaire américain, The Conversation.

C’est d’ailleurs sur ces critères scientifiques que se base la règle de la TSA. Les aliments « tartinables » sont systématiquement considérés comme étant alors des liquides.