Les téléspectateurs de M6 ont pu retrouver Cyril Lignac dans l’émission Le meilleur pâtissier. Encore une fois, les candidats ont dû se surpasser pour convaincre le jury. Comme à son accoutumé, l’ex-petit ami de Sophie Marceau était très attentif vis-à-vis de leur réalisation.
Cyril Lignac : « Je suis exigeant envers eux »
Cyril Lignac a confié à Télé-Star : « On est là pour les accompagner, passer un bon moment, et s’amuser. Là, un changement de métier implique que je sois le même que dans mes entreprises ».
Puis, il a ajouté que : « J’explique toujours à mes pâtissiers que je suis exigeant envers eux, mais que les clients le sont 100 fois plus envers moi. Je suis obligé de faire le bouclier face aux clients et de répartir la pression. Quand je suis rentré pompier volontaire, on m’a mis dans le dur tout de suite et j’ai vite compris que, l’échelle de 32 mètres, il fallait que je la monte. Donc là, le principe, c’est de ne pas leur mentir ».
Un départ douloureux
Pour Cyril Lignac, il n’y a plus de secrets dans le domaine culinaire. En fait, chaque jour, il aime partager sa passion. À 44 ans, il a d’ailleurs beaucoup accompli avec fierté. Peu de gens le savent, mais en 2014, le célèbre chef a subi une horrible tragédie.
En effet, sa mère, 56 ans, est décédée après un long combat contre une maladie. Un sujet sensible qu’il avait fait part dans « En aparté », en janvier dernier. « On a frappé là où ça pouvait faire le plus mal », a-t-il confié. « Et ça, on ne s’en remet jamais en fait. Alors le temps panse les blessures et il te fait grandir. Une terrible épreuve qui m’a fait passer dans l’âge adulte », ajoute-t-il.
Cette dernière avait accepté de venir jusqu’à Paris afin de se faire soigner. Là, le cuisinier a affirmé : « Ce qui est génial dans mon malheur, c’est que j’ai passé les six derniers mois de sa vie avec elle ». Enfin, il conclut par : « Je suis redevenu comme un petit garçon. Je l’appelais en lui disant : ‘Maman, je ne rentre pas manger ce soir’. Elle me répondait : ‘Mais Cyril, tu es chez toi, tu fais comme tu veux’. J’avais retrouvé ce cocon… ».