Après s’être mis en retrait, Christophe Dechavanne est de nouveau sous le feu des projecteurs grâce notamment à Léa Salamé qui l’a sollicité à collaborer avec elle dans Quelle époque.
Interviewé récemment par les journalistes de RTL Info, l’animateur de 65 ans est revenu sur des nombreux épisodes sombres de sa vie. Cash, il n’a pas caché ses galères financières. Christophe Dechavanne croule sous une montagne de dettes : « On me saisissait mes salaires », confiait-il.
« C’était une bonne nouvelle » : Christophe Dechavanne évoque le divorce de ses parents.
Tout remonte au lendemain de la mort de son père. Un père avec qui d’ailleurs, les rapports n’étaient pas aux beaux fixes. Non, loin de là !
« Quand mes parents ont divorcé, j’avais 18 ans, et c’était plutôt une bonne nouvelle », confie-t-il à Nathan Sweres.
« C’était un père présent mais pas tout à fait présent », poursuivait-il son récit avant d’indiquer que la séparation de ses parents signifiait pour lui, « ne plus avoir à endurer leurs relations tendues à la maison. »
Christophe Dechavanne croule sous une montagne de dettes : « On me saisissait mes salaires » !
Christophe Dechavanne d’ensuite venir au « cadeau empoisonné » de son père. A peine, il faisait ses débuts dans la vie active, que les problèmes commençaient à surgir. La faute à qui ?… Aux dettes colossales que son père lui a laissées.
« Quand mon père est mort, dévoile-t-il, j’ai hérité de 300.000 francs de dettes« . Un vrai coup dur !
« J’ai démarré ma vie avec 300.000 de dettes à l’État, indique Christophe Dechavanne. La suite n’a pas été des plus évidentes.
« Il a fallu que je me crache un peu dans les mains puisqu’on me saisissait mes salaires partout où je travaillais… », continuait l’ancienne vedette de TF1.
Comme il ne pouvait « se payer les services d’un avocat », « c’est un copain de sa sœur qui a pris le dossier ».
Malencontreusement pour lui, celui-ci « a bêtement oublié une date », se souvient-il. Résultat : Christophe Dechavanne « reçoit une lettre de l’État qui disait « Vous avez acceptez un héritage et vous nous devez 300.000 francs« , ce qui était beaucoup y a longtemps. », conclut le papa de Ninon, Paul-Henri Dechavanne et Pauline Dechavanne.