Charlène de Monaco : cette condition à laquelle le prince Albert a dû se soumettre pour échapper au divorce. On vous dévoile tout !
Le retour de la Première dame monégasque sur le Rocher ne s’est pas fait sans quelques concessions pour le souverain. Charlène de Monaco : cette condition à laquelle le prince Albert a dû se soumettre pour échapper au divorce.
Charlène de Monaco, retour surprise sur le Rocher.
Au moment où personne ne s’y attendait le moins, l’ancienne nageuse olympique a débarqué à l’improviste dans la Principauté.
Après de longs mois passés à séjourner dans cette clinique de luxe à Zurich (en Suisse), la quadragénaire est finalement revenue auprès de son mari Albert II et de ses jumeaux de 7 ans, Jacques et Gabriella.
“En accord avec ses médecins et alors que son rétablissement est en bonne voie, leurs altesses sérénissimes ont convenu ensemble que la princesse Charlène peut désormais poursuivre sa convalescence en principauté, auprès de son époux et de ses enfants”, annonce un communiqué officiel du Palais.
Sa longue convalescence a fait prendre conscience à la fille de Michael et Lynette Wittstock qu’elle ne souhaite pas retrouver sa vie d’avant.
La princesse de 44 ans, qui se sent désormais assez forte pour imposer ses choix, ne s’est pas fait prier pour poser une condition : celle de ne pas vivre au Palais, théâtre de trop nombreuses déconvenues.
“Pour la première fois, Charlène a prononcé le mot ‘divorce’. Et ça, c’est inenvisageable pour lui. Il est prêt à tout pour ne pas en arriver là »
Voilà pourquoi la princesse Charlène de Monaco s’est établie à Roc Agel, dans l’arrière-pays. Comme révélé dans les colonnes du magazine Voici, dans son édition sortie en kiosque ce vendredi 18 mars 2022.
C’est dans ce havre de paix acheté par le prince Rainier en 1957 que Charlène de Monaco a trouvé refuge. Le prince Albert II de Monaco ne pouvait pas lui refuser cette demande. La cause ?
“Pour la première fois, Charlène a prononcé le mot ‘divorce’. Et ça, c’est inenvisageable pour lui. Il est prêt à tout pour ne pas en arriver là et elle le sait très bien”, confiait une source.
Mais en contrepartie, la Sud-Africaine a dû, elle aussi, faire des concessions, et pas des moindres. On vous en dit plus dans un prochain article.