Comment peut-on joindre les deux bouts lorsque l’on dispose de maigres revenus ? Ce retraité qui vit seul dévoile son astuce pour vivre confortablement avec seulement 1 000€ par mois. On vous donne les détails dans les prochaines lignes de notre article.
Découvrez comment ce retraité vit correctement bien avec 1000 euros.
Si en France, 1000 euros ne vaut pratiquement grand-chose, Michel n’a pas à se plaindre. Ce retraité s’en sort plutôt bien chaque mois. On vous raconte son histoire.
Pour ne pas que son loyer vienne entailler plus de la moitié de son budget, ce retraité a choisi un appartement plus petit. Il essaie de gaspiller le moins possible d’énergie.
Il prend soin chaque fois d’éteindre ses appareils électriques. Il n’utilise pas non plus de chauffage. Sa facture d’électricité est ainsi maîtrisée.
Lorsque Michel fait ses courses, il privilégie les produits de saison et les marques de distributeur pour faire baisser le coût de son panier. Pour profiter des prix les plus bas, il mise plutôt sur les enseignes discount.
Michel bénéficie par ailleurs de la Couverture Maladie Universelle Complémentaire (CMU-C) pour prendre en charge ses dépenses de santé.
Il reçoit en outre gratuitement des produits de première nécessité via le dispositif d’aide alimentaire de sa ville.
Pour se déplacer, notre retraité se tourne principalement sur les transports en commun. Il pratique également le vélo ou la marche. C’est à la fois bon pour sa santé que pour son porte-monnaie.
Michel prend régulièrement part à des activités organisées par sa commune ou encore par des associations locales. Grâce à des ateliers créatifs ou aux sorties culturelles, il échange avec d’autres personnes.
Les fins de mois difficiles de Marie Mercier…
Et pourtant avec presque la même somme, Marie Mercier a beaucoup du mal à tenir le coup. Question nourriture, l’octogénaire « prend peu ou prou la même chose chaque semaine ».
« Une fois, j’ai voulu prendre du veau. Mon boucher a dit que c’était trop cher pour moi. Vous savez madame, j’ai l’habitude de dire ça aux retraités, lui expliquait-elle. On a regardé le prix : il avait raison. », admettait Marie Mercier au Parisien.