Après 252 participations et une cagnotte s’élevant à 1 026 107 euros, Bruno surnommé affectueusement par Jean-Luc Reichmann « Fifou Dingo » quittait Les 12 Coups de midi avec le titre de plus grand « maître de midi ». Le trentenaire est par ailleurs, le « plus grand gagnant de l’histoire des jeux télévisés en France ».
Qu’est devenu Bruno Hourcade après sa participation aux 12 Coups de midi ?
Récemment convié dans PAF, l’émission de Pascale de la Tour du Pin sur C8, le champion a évoqué ce qu’il avait fait de ses gains depuis le tournage.
« Il faut un moment pour réfléchir à ce qu’on en fait et je fais beaucoup d’investissements locatifs – et comme j’ai perdu mon travail pendant l’émission des 12 coups parce qu’il y a eu un plan dans mon entreprise, ça m’a libéré beaucoup de temps. Je m’occupe moi-même de visiter les appartements, prendre les rendez-vous à la banque, assurance, notaire… Ça prend beaucoup de temps finalement ! », détaillait-il son nouveau quotidien.
Il s’est même acheté son premier appartement à Pau, dans les Pyrénées-Atlantiques, la région d’origine de sa grand-mère.
Pourquoi Bruno a-t-il été « contraint » de se séparer de bon nombre de ses cadeaux ?
Dans la foulée, l’ex chargé d’études pour la régie publicitaire a également confié qu’il n’avait pas pu garder une bonne partie de ses lots.
Comme rappelé dans les colonnes du magazine Voici, Bruno est reparti du jeu avec « pas moins de 9 voitures, 9 télévisions et 9 consoles ! »
« J’ai conservé un exemplaire de chaque : une Playstation 5, une Xbox et une Nintendo Switch, puis j’ai offert le reste. Pour les voitures, ajoute Bruno, j’ai été contraint de les vendre au fur et à mesure, car elles encombraient le jardin de mes parents ».
Qu’en est-il de sa relation avec Jean-Luc Reichmann ? Sont-ils restés en bons termes ?
« Evidemment, neuf mois… Comme je le disais à la fin ça devenait limite un travail parce que j’y allais tous les jours, indiquait-il à la nouvelle recrue de Cyril Hanouna. Que ce soit Jean-Luc ou Zette ou même tous les techniciens, quand on côtoie les gens au quotidien, forcément des affinités et de la sympathie se créent. Surtout Jean-Luc il met tout de suite à l’aise.« , poursuivait-il.
« La bonne ambiance qu’on voie à l’antenne, c’est celle qui a vraiment derrière. De toute façon, assurait-il, c’est impossible de faire semblant aussi longtemps et de feindre une sympathie.«