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Bonus réparation : profitez d’une remise en vous adressant à un réparateur agréé !

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Les Français ont pu profiter d’un « bonus réparation » pour leurs équipements électriques et électroniques depuis jeudi dernier. On vous explique tout.

Bonus réparation : vous pouvez profiter d’un forfait jusqu’à 45 euros !

Il s’agit d’une prime concernant vos appareils électroménagers. En effet, le gouvernement a proposé un coup de pouce à la réparation pour le développement de l’économie circulaire.

Franceinfo a expliqué que « ce bonus réparation constitue en fait un forfait de 10 à 45 euros calculé selon chaque type d’appareil à réparer ». Par ailleurs, vous pouvez vous rendre sur le site ecosystem.eco pour consulter l’annuaire des réparateurs labellisés.

Que devrions-nous faire pour profiter de ce bonus ?

Pour recevoir cette aide, il faut s’adresser à un réparateur labellisé QualiRépar, reconnu pour son savoir-faire. D’ailleurs, tous types d’ateliers tels que les ateliers indépendants, les artisans, les ateliers industriels, les services après-vente (SAV) fabricants et les SAV distributeurs peuvent acquérir ce label pendant 3 ans.

D’ici à 2023, le réseau devrait compter plus de 1 500 professionnels, selon le site du service public. Ensuite, on appliquera immédiatement la prime à la réparation au consommateur. En effet, elle sera visiblement déduite de la facture et l’éco-organisme remboursera directement le professionnel.

Les appareils concernés

Concernant ce bonus, le matériel doit être fabriqué en France et être exempté de toute garantie légale ou commerciale. Par ailleurs, 31 familles d’appareils essentiels seront éligibles à cette remise, en 2023. Outre cela, il sera possible de réparer les friteuses, les robots culinaires, les micro-ondes, les imprimantes, en 2024. Quant à l’année 2025, les sèche-cheveux et les ventilateurs figureront dans la liste.

Le nombre d’ateliers agréés devrait également passer à 1 500 d’ici à 2023. De plus, dans les années qui suivront, il y en aura encore des milliers. D’ailleurs, en vue de la loi Agec, l’État investira au total environ 410 millions d’euros dans ce système d’ici à 2027.