« Sans TPMP, je serais à la rue », déclarait avec beaucoup d’émotions l’ancien animateur de Secret Story. Benjamin Castaldi : le chroniqueur de Cyril Hanouna surendetté, ses galères financières dévoilées.
Invité de Jordan De Luxe dans le cadre de son programme, « Chez Jordan », le mari d’Aurore Aleman, sans fard, a fait part de nombreuses dettes dont il a eu du mal à rembourser. Benjamin Castaldi : le chroniqueur de Cyril Hanouna surendetté, ses galères financières dévoilées.
« À la fin du mois, il ne me reste rien ».
Le papa des 4 enfants, à la tête de nombreuses émissions à succès comme Loft Story, Secret Story, La Nouvelle Star a marqué l’univers du PAF. Une très grande notoriété qui lui a permis de gagner une grosse somme d’argents. Mais malheureusement, l’ex-compagnon de Flavie Flament a très mal géré sa grosse fortune.
À la place des « Ferrari », « Aston », et « Porsche », Benjamin Castaldi, sans préciser le montant exact, doit rembourser une lourde dette. Pour son poste de chroniqueur et joker de Cyril Hanouna, le mari d’Aurore Aleman touche environ 20 000 euros par mois.
À cause de ses dettes, son salaire est réduit à seulement 1600 euros. « À la fin du mois, il ne me reste rien », confessait le petit-fils de Simone Signoret en direct de Touche pas à mon poste il y a un an de cela.
Il y a quelques jours, Benjamin Castaldi a donné une entrevue exclusive à Jordan De Luxe. L’occasion pour l’animateur de 6 à 7 de lever enfin le voile sur sa véritable santé financière.
« Aujourd’hui, 70 % de ce que je gagne, hors impôts, contribue à rembourser mes dettes », précisait-il. Par contre, il commence désormais à sortir sa tête de l’eau. Mais c’est loin d’être une mince affaire. « Je suis en train de me désendetter, mais c’est encore un peu lourd », a-t-il fait bien mention.
« Je n’ai pas le droit au chômage, j’ai le droit à rien… »
D’une façon ou d’une autre, Benjamin Castaldi a toujours pu compter sur ses proches, comme précisément le cas de son boss et ami, Cyril Hanouna.
« Heureusement que je gagne très bien ma vie, parce que si ce n’était pas le cas, je serais à la rue », confessait, à cœur ouvert, Benjamin Castaldi. « Je n’ai pas le droit au chômage, j’ai le droit à rien […]. Sans TPMP, je serais à la rue… », a-t-il conclu.