Cette interminable guerre entre France 2 et TF1 n’a plus de frontière. Tous les salariés de ces deux chaînes se sentent concernés. Anne-Sophie Lapix et Gilles Bouleau, cette bataille qui fait rage.
Les deux brillants journalistes sont animés par la même et unique passion. Concurrents directs grâce à leur chaîne de présentation, ils ne définissent pas pour autant comme des ennemis. Mais chacun travail d’arrache-pied pour enregistrer, jour après jour, un score d’audience plus performant. Et sur ce point, la concurrence est sans merci. Anne-Sophie Lapix et Gilles Bouleau, cette bataille qui fait rage.
France 2 VS TF1, une bataille de longue date
Entre le JT de TF1 et celui de France 2, les choses ont été toujours ainsi. Si historiquement, c’est toujours la première chaîne qui attire plus de téléspectateurs, la seconde ne se déclare pas pour autant forfait.
Il y a 4 ans de cela, Europe 1 a fait bien mention que le JT de 20 h de France 2 talonnait vraiment celui de TF1. Une époque très rare pour ne pas être mentionné.
« C’est une épreuve du feu le 20 h. Il faut que ça marche, c’est une alchimie«
En ce moment-là, c’était au courant de l’année 2017, Anne-Sophie Lapix a été investie aux commandes du JT de 20h de France 2. De passage sur les ondes d’Europe 1, Gilles Bouleau lui a prévenu déjà de cette ambiance très concurrentielle.
Le présentateur vedette de TF1 lui a fait savoir, à cœur ouvert, que cette nomination est loin d’être une grande promenade de santé. « C’est une épreuve du feu le 20 h, déclarait-il avec autant d’assurance. Il faut que ça marche, c’est une alchimie », affirmait-il par la suite.
On doit dire qu’il y a bel et une véritable alchimie entre les téléspectateurs et la présentatrice Anne-Sophie Lapix. Cependant, TF1 garde sa place de leader dans la majorité des cas.
Force est de constater que ces derniers temps, France 2 talonne de nouveau son principal concurrent, le JT de 20 h de la chaîne numéro 1. Le 13 décembre 2021, Gilles Bouleau et Anne-Sophie Lapix se retrouvaient au coude à coude.
D’une façon, ou d’une autre, comme affirmaient nos confrères de la radio Europe 1, « c’est un organisme vivant le journal ».