La célèbre journaliste ne cache plus son mal vis-à-vis de ce gros conflit qui oppose les deux pays. Anne-Claire Coudray s’inquiète pour ce proche parti en Ukraine pour la guerre. Les détails dans les prochaines lignes…
Interrogée par nous confrères de Téléstar sur le même sujet, présentatrice vedette du JT de la première chaîne, très inquiète quant à l’issue de cette terrible bataille contre le géant russe, a fait une confidence bouleversante. Anne-Claire Coudray s’inquiète pour ce proche parti en Ukraine pour la guerre.
« Ça me démange souvent de prendre l’avion »
Très engagée pour la cause humanitaire, Anne-Claire Coudray, dans les colonnes de l’hebdomadaire Téléstar, a exprimé ses inquiétudes pour l’avenir ces civils ukrainiens, obligés de fuir leur demeure en abandonnant tous leurs biens pour sauver leur peau.
Comme tout le monde, elle ne peut qu’espérer à un éventuel cesser le feu très rapide entre les deux pays. Par ailleurs, la mère de famille est plus concernée encore par cette guerre à cause de toutes ces personnes proches d’elle…Qui mettent en danger leur vie pour couvrir cette violente offensive, conduite par Vladimir Poutine en personne.
Exerçant comme journaliste de TF1 depuis un peu plus deux décennies, Anne-Claire Coudray s’est liée d’amitié avec de nombreux collègues dont certains d’entre eux sont des grands reporters de guerre.
Ces journalistes d’investigations, assoiffés par désir d’informer, n’hésitent même pas à s’exposer au plus grand danger pour pouvoir partager une information la plus proche possible de la réalité.
À l’heure que nous écrivons cet article, la situation s’évolue de mal en pis. Ce qui accroît également l’inquiétude ce ceux qui ont des amis ou de la famille restés en Ukraine.
C’est précisément le cas de la journaliste Anne-Claire Coudray.
« Ça me démange souvent de prendre l’avion, surtout que j’ai plein de copains qui sont partis », racontait-elle au micro de la rédaction de Téléstar.
« Mon beau-frère est aussi allé en Ukraine »
Ce n’est pas tout. « Mon beau-frère, caméraman [pour le programme débat de France 5 « C dans l’air »] est aussi allé en Ukraine » poursuivait-elle.
« Dire qu’à l’époque, quand ma mère me disait de ne pas prendre trop de risques, j’étais agacée par ce genre de réflexion ». Désormais, sa vision a rejoint celle de sa maman.
« On ne délocalise plus en direct ces dernières années, cela coûte très cher. Il faut vraiment qu’il y ait une plus-value » .