Anne-Claire Coudray, douloureuse rupture, sentiment de culpabilité

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Anne-Claire Coudray, douloureuse rupture, sentiment de culpabilité… La célèbre journaliste de la première chaîne brise le silence.

Anne-Claire Coudray, douloureuse rupture, sentiment de culpabilité. La journaliste se livre à cœur ouvert. La rédaction d’Il est encore temps vous fait le point.

Anne-Claire Coudray se confie sur son mari, Nicolas Vix.

« Nicolas est mon compagnon depuis quelques années ». De cette union naquit une petite fille, Amalia. On s’est rencontrés, on avait déjà tous les deux, je ne dirais pas un certain âge, mais moi j’étais proche de la quarantaine et lui de la cinquantaine« , donnait-elle le ton.

« C’est vrai que c’est très agréable de construire un couple quand on a déjà nos personnalités et nos espaces de liberté. Qu’on sait ce qu’on veut, mais aussi ce qu’on ne veut pas », confiait Anne-Claire Coudray dans L’instant De Luxe sur Non Stop People.

Nos confrères de France Dimanche évoquent effectivement cette douloureuse rupture vécue par Anne-Claire Coudray en Une de son dernier numéro. Mais à aucun moment, il n’est question de sa vie sentimentale. Ce sentiment est surtout engendré par le désintérêt des Français pour la vie publique.

« Dans mon métier, je suis confrontée au désamour des téléspectateurs et des Français en général pour la politique. Ça me désole, déplorait-elle. On essaie d’expliquer que s’il n’y a plus de candidats aux élections au niveau local, il ne se passe plus rien dans nos vies », explique la remplaçante de Claire Chazal.

« On essaie de montrer que la politique est partout, qu’elle est dans les transports, le tourisme, la culture, dans l’aménagement du territoire, la préservation de l’environnement ».

Celle qui affectionne la Bretagne de faire son possible pour changer la donne et tenter de donner le goût de l’engagement à ses téléspectateurs… Mais ce ne serait pas gagné.

« Je garde un petit sentiment de culpabilité de l’avoir laissée trop longtemps » !

Anne-Claire Coudray est la marraine du festival Escales. « Comme c’est mon oncle (Jacques Madec, élu à Locmariaquer (Morbihan), N.D.L.R.) qui me l’a proposé, je ne pouvais pas refuser », indiquait-elle.

« J’ai aussi été séduite par le côté ouvert de ce festival qui est gratuit. L’idée d’accrocher des photos géantes sur les maisons, de faire participer les habitants à cette exposition qui parle de qui on est, de cette région qu’on adore sans trop savoir pourquoi ». Sa famille réside encore jusqu’à aujourd’hui dans le Morbihan.

« Je garde un petit sentiment de culpabilité de l’avoir laissée trop longtemps. Depuis que je m’y réintéresse, je me rends compte combien cette région m’a construite comme je suis aujourd’hui », confessait Anne-Claire Coudray.