En décidant de s’inscrire dans une telle émission, il faut s’attendre à tout… Même au pire. Alicia (Mariés au premier regard) : son secret inavouable révélé à Bruno.
Face à une telle surexposition médiatique, il est difficile de protéger son intimité. Et ce n’est pas la nouvelle mariée de dire le contraire. Alicia (Mariés au premier regard) : son secret inavouable révélé à Bruno.
« Ce n’était pas le moment de lui parler de mes cicatrices… »
Basé sur la probabilité, le programme Mariés au premier regard enchaîne le succès. Pour cette sixième saison, le couple formé par Alicia et Bruno attire tous les regards.
Victime d’un terrible accident qui a laissé une marque indélébile et l’avait privé de sa sœur, la jeune femme n’échappe pas aux stigmates physiques et psychologiques.
Au moment de passer la première nuit de noces avec son jeune époux, Alicia craignait qu’il découvre subitement son jardin secret. Mais fort heureusement, elle a croisé un homme plutôt compréhensif.
Pour enlever sa robe de mariée, « j’ai demandé à la journaliste qui m’accompagnait de le faire dans la salle de bains », confessait-elle, totalement dithyrambique face à son passé.
Pour justifier son geste, la jeune mariée ne manque pas d’arguments. « Ce n’était pas le moment de lui parler de mes cicatrices, a-t-elle fait bien mention. On n’a pas forcément à entrer dans une *nt*mité forte dès le départ, tentait-elle de convaincre. C’est bien de prendre son temps », soutenait-elle encore.
« Tu as une cicatrice… »
Pour éviter le scandale, les deux tourtereaux se sont convenus de faire un déballage intime que durant les petites minutes hors caméras. » On a tous les deux conclu que les caméras fatiguaient« .
« On n’a pas le temps de se préparer. Il faut bien se tenir« , etc. Au bout du compte, ils auront le temps « à l’aéroport ou dans l’avion pour le voyage de noces. »
« Il a vu mes marques en off, de dos, après un petit-déjeuner, racontait-elle. Il n’a pas osé me poser la question et a été très respectueux, confiait-elle, l’air soulagé. Même dans l’avion pour aller à Porto, il a touché mon abdomen et m’a dit : ‘Tu as une cicatrice’. Je lui ai dit que je lui en parlerai plus tard. »