Alerte : la hausse de cette taxe ne va pas plaire aux Français. Ce n’était pas prévu ! On vous en dit plus dans les lignes qui suivent…
Tandis que la revalorisation des bases locatives a atteint 3,4 % cette année en raison de l’inflation, la hausse des taux par certaines collectivités va faire grimper la facture. Alerte : la hausse de cette taxe ne va pas plaire aux Français. Ce n’était pas prévu !
Qui sont concernés par la hausse de cette taxe foncière ?
Cet impôt local, dont s’acquittent les propriétaires, devrait flamber davantage que les autres années.
Les valeurs locatives cadastrales, servant de base au calcul de la taxe foncière, vont en effet être revalorisées de 3,4 %. Cette mesure est non seulement liée au retour de l’inflation mais aussi couplé à un changement de la méthode de calcul.
À partir du moment où vous êtes propriétaire d’un bien immobilier, vous êtes concernés par cette taxe foncière. Cette taxe est valable autant pour les particuliers, les entreprises, les résidences principales et secondaires, les usines que les terrains.
Si vous êtes en location, vous n’êtes alors pas concernés étant donné que c’est le propriétaire qui se charge de régler la taxe foncière. Celui-ci ne peut demander au locataire de payer excepté dans le cadre de la taxe d’enlèvement des ordures ménagères (TEOM).
Si vous percevez l’allocation adulte handicapée (AAH), et êtes âgés de plus de 75 ans et si vous êtes bénéficiaire de l’Aspa ou de l’Asi (allocation supplémentaire d’invalidité), vous pouvez éventuellement effectuer une demande d’exonération totale ou partielle, mais serez toujours soumis à un seuil de revenu fiscal de référence.
Qui ne sont pas concernés par cette taxe foncière ?
Cette exonération ne concerne point la TEOM qu’un propriétaire devra forcément payer.
Les bâtiments ruraux d’utilisation agricole, les nouvelles constructions, ajout ou agrandissement ne sont pas concernés par la taxe foncière. Il faut savoir qu’ils disposent d’une exonération de la taxe foncière pour une durée de deux ans.