Aides : voici ce qu’il faut faire pour réclamer vos prestations sociales non reçues le 5 octobre

Aides : voici ce quil faut faire pour réclamer vos prestations sociales non reçues le 5 octobre
Aides : voici ce qu'il faut faire pour réclamer vos prestations sociales non reçues le 5 octobre !-© Adobestock

Vos prestations sociales ont-elles été suspendues ce 5 octobre dernier ? Si oui, voici comment vous pouvez les récupérer. On vous aide à y voir plus clair.

Aides : voici ce qu’il faut faire pour réclamer vos prestations sociales non reçues le 5 octobre

Bon nombre des allocataires des prestations sociales de la Caisse d’allocations familiales n’ont pas vu leurs paiements habituels versés le 5 octobre dernier, et ce pour plusieurs raisons possibles.

Dans la plupart des cas, il peut s’agir soit d’une suspension des aides parce que les bénéficiaires ont omis de réaliser leur déclaration trimestrielle (mise à jour des informations en cas de changement de situation pour continuer à percevoir les aides), soit parce que leurs droits ont expiré.

La mise à jour peut rappelons-le, être effectuée en ligne depuis le site Caf.fr.

Pour savoir si vos aides ont été suspendues, vous pouvez contacter la Caf de votre région par voie électronique, par courrier postal, ou par téléphone.

Vous pourrez également régulariser votre situation en vous rendant directement dans leurs locaux.

Si jamais vous faites l’objet d’une suspension des prestations sociales, n’hésitez pas à vous rapprocher de l’organisme public afin de connaître rapidement les mesures à prendre. Pour de plus amples détails, consultez le site web.

Suspension du revenu de solidarité active.

Avec la réforme du RSA, Olivier Dussopt a indiqué qu’ils allaient « créer par la loi la possibilité de suspendre les allocations. Ce sera toujours décidé par le président du conseil départemental. », assurait le ministre du travail.

La suspension de l’aide a lieu en cas de manquement aux obligations de formation et d’insertion, qui consiste en « quinze à vingt heures hebdomadaires de formation, d’accompagnement, de recherche d’emploi ».

Cette suspension peut s’étendre d’« une semaine, deux ou trois, même un jour ou deux jours, », ajoutait-il. La décision, poursuit Olivier Dussopt, serait « rapide », « simple », et « réversible ».