Aides sociales : ces 3 prestations devraient augmenter en 2023

Aides sociales : ces 3 prestations devraient augmenter en 2023
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Aides sociales : ces 3 prestations devraient augmenter en 2023 comme prévu par le projet de loi de financement de la sécurité sociale, présenté le 26 septembre dernier.

Aides sociales : ces 3 prestations devraient augmenter en 2023. Il est encore temps fait le point pour vous.

Voici trois prestations sociales qui devraient bientôt augmenté en 2023.

Les pensions de retraites, comme estimé dans les colonnes du journal économique Les Echos, devraient augmenter de 0,8% en janvier et les allocations familiales ainsi que le RSA de 1,7% en avril

Un taux qui reste inférieur à celui d’avril 2022, durant lesquelles ces prestations avaient été revalorisées de 1,8%.

Le taux définitif ne sera déterminé que d’ici novembre et décembre, en fonction de l’inflation.

2 autres aides sociales vont aussi être revalorisés d’ici peu.

Mais ce n’est pas tout. Il faut savoir que le projet de loi prévoit entre autres la revalorisation de deux autres aides sociales à destination des familles. A savoir d’une part, l’allocation de soutien familial, et d’autre part, le complément de libre choix du mode de garde.

L’ASF rappelons-le, est une aide qui s’adresse tout particulièrement aux parents isolés. Cette dernière sera revalorisée de 50% à compter du mois de novembre. Le montant passera de 123,54 euros à 185,33 euros par mois et par enfant.

C’est la Caisse d’allocations familiales ou la Mutualité sociale agricole qui se charge du versement de cette aide.

Sont concernés les parents qui résident seuls, en France et qui ont au moins un enfant à charge pour lequel l’autre parent ne contribue plus à l’entretien depuis au moins 1 mois ou verse une pension alimentaire inférieure à 123,54 euros.

Le complément de libre choix du mode de garde va également connaître une augmentation. Ce coup de pouce financier est versé aux familles qui font garder leur enfant par une assistante maternelle.

Cette aide sera réévaluée pour que leur reste à charge soit le même que si l’enfant bénéficiait d’une place en crèche. Le CMG s’étendra jusqu’aux 12 ans de l’enfant, contre 6 ans habituellement, pour les familles monoparentales. 

Le montant de ce complément de libre choix du mode de garde « varie selon le nombre d’enfants à charge, l’âge de votre enfant et vos ressources », peut-on lire sur le site du service-public.