Agathe Auproux de nouveau face à la maladie : le diagnostic tombe, ce traitement lourd de plusieurs semaines à absolument suivre… On vous raconte tout à travers notre article.
Agathe Auproux face à la maladie : le diagnostic tombe, ce traitement lourd de plusieurs semaines
« La fatigue persistant, les petits kystes apparemment bénins qui restent et qui s’installent. Des ganglions dans la gorge qui sortent, alors que je n’ai pas d’angine, de rhume. Je commençais à trouver ça de plus en plus bizarre », expliquait Agathe Auproux auprès de Faustine Bollaert dans un numéro de ça commence aujourd’hui sur France 2.
Elle avait pour rappel, souffert d’un cancer lymphatique portant le nom de maladie de Hodgkin.
« Je n’en avais jamais entendu parler avant ça, (une maladie) qui touche d’ailleurs particulièrement les jeunes, ce que je ne savais pas. C’était une libération : le mal est analysé, nommé, on peut commencer un protocole de soin », soulignait à l’époque la star des réseaux sociaux.
Les abonnés d’Agathe Auproux n’est pas sans savoir dernièrement que la jeune femme est de nouveau confrontée à la maladie. Son anxiété n’est pas pour cette fois directement liée à son état de santé mais plutôt à celui de son son chat Mew.
« Le scanner a révélé une masse dans le nasopharynx (impossible à opérer), annonçait l’ancienne chroniqueuse de C8.
Et c’est avec « un cœur en mille morceaux » qu’elle évoquait la conversation avec la vétérinaire qui (lui) a dit : ‘Je vais vous parler franchement, il y a de grandes chances pour que ce soit tumoral et là, il faudra aller voir un cancérologue pour la suite… Radiothérapie, chimio... Il vous expliquera tout' ».
Desespérée par la situation, Agathe Auproux confie vouloir prendre une pause. « J’arrête Insta, je n’ai rien à partager à part mon désarroi, ça ne sert à rien« . Les nouvelles se sont avérées plutôt bonnes ce 8 août dernier que l’influenceuse a refait surface.
« Ils penchent finalement pour une rhinite chronique et inflammatoire à risque », révélait-elle avant d’évoquer le lourd traitement « à base de cortisone, 3 semaines d’antibio, inhalations matin et soir pendant deux mois… » que cela exige.
« Ça faisait neuf jours que je n’osais plus sortir de l’appartement(…)Je revis un peu » !
« Je ne peux pas la laisser une journée, je vais devoir m’assurer qu’elle prenne ses comprimés tous les jours… Déjà inhalation, c’est mort, je sais qu’elle ne supporte pas ça. Mais c’est une bonne nouvelle, je revis un peu, normalement, elle ne va pas mourir », relativisait-elle.
« Ça faisait neuf jours que je n’osais plus sortir de l’appartement car elle partait en détresse respiratoire sans prévenir. J’avais l’impression que si je m’absentais juste pour une séance de sport, ça pouvait lui être fatal« , ajoutait-elle.