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110 km/h sur les autoroutes: le gouvernement provoque une onde de choc chez les salariés

110 km/h sur les autoroutes: le gouvernement provoque une onde de choc chez les salariés
110 km/h sur les autoroutes: le gouvernement provoque une onde de choc chez les salariés !-© PIXABAY

Une nouvelle initiative qui risque d’être mal accueillie par de nombreux travailleurs !

Rouler sur 110 km/h sur les autoroutes, le gouvernement provoque une véritable onde de choc chez de nombreux salariés. Plus de précisions dans les prochaines lignes de cet article.

110 km/h sur les autoroutes: le gouvernement provoque une onde de choc chez les salariés

Le gouvernement cherche en effet à réduire les émissions de CO2 et la consommation d’énergie en incitant les salariés à rouler moins vite.

Dans cette optique, la ministre de la Transition énergétique a demandé aux grandes entreprises (CAC40 et SBF120) d’inclure la vitesse maximale de 110 km/h dans le dialogue social.

Pour aller plus loin dans la réduction de la consommation d’énergie, notamment celle du carburant, il est crucial d’explorer de nouveaux « leviers« . L’un d’eux est la « baisse de la vitesse sur autoroute« , qui pourrait contribuer à des économies significatives d’énergie.

Actuellement, la consommation d’électricité et de gaz a déjà été réduite de 10%, mais il faut continuer sur cette lancée.

« Rouler à 110 km/h au lieu de 130 km/h permettrait de réduire de 20% les émissions de CO2 et la consommation de carburant. », avance Agnès Pannier-Runacher.

Comme expliqué par la ministre, cela consiste à prendre « trois minutes sur un trajet de 50 kilomètres ».

Cette mesure, déjà appliquée dans les administrations, s’inscrit dans l’objectif de « réduire la consommation d’énergie de 40% d’ici à 2050″.

Voici comment le gouvernement entend mettre en place l’initiative.

Comme les consommations de carburant restent inchangées, le gouvernement espère inverser cette tendance grâce à cette nouvelle initiative.

Il veut que les entreprises établissent des objectifs de réduction de la consommation d’énergie, « approuvés par des instances internes élevées comme le conseil d’administration ou le comex ».

Puis, de les « publier sur internet ou sur des plateformes dédiées à l’image de « les entreprises s’engagent« . » Mais il reste à voir si les entreprises accepteront le défi.